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Introduction
Pourquoi est-il difficile d’avoir confiance en soi?
La confiance en soi se construit petit à petit, jour après jour. Mais au fond, qu’est-ce que cela signifie vraiment ?
En anglais, on dit « self-confidence » = Self=Soi / Con= Avec / Fidence= la Foi, ce qui veut dire « Avoir foi en soi » ou « Croire en soi ».
La clé, c’est de croire en toi. Mais est-ce si facile ?
Pose-toi ces questions :
- Est-ce difficile pour toi de te faire confiance ?
- Pourquoi n’arrives-tu pas à avoir confiance en toi ?
- Qu’est-ce qui peut détruire ta confiance ?
- Faire confiance aux autres peut-il être douloureux ?
- Quelles sont les conséquences du manque de confiance en toi ?
Je vais t’expliquer rapidement comment fonctionne ton cerveau.
Cela te permettra de mieux comprendre les clés que je te propose pour retrouver confiance en toi.
Une petite histoire de courage : « Le sorcier qui avait peur des dragons « .
Est-ce difficile de se faire confiance ?
Nous pouvons perdre confiance en nous lorsque quelqu’un nous critique durement ou constamment.
Si dans ton enfance, tu as vécu la diffidence et les critiques de tes parents et du système éducatif, il va falloir que tu construises ta confiance en toi par tes propres moyens.
Certaines écoles comme Montessori ont commencé à révolutionner le système éducatif en se basant sur la confiance en l’élève.
Clique-ici pour découvrir d’autres écoles comme École Rudolf Steiner d’Essonne / L’école démocratique de Paris
La caractéristique de ces écoles est que le système éducatif y enseigne la confiance en soi à l’élève.
Comment ?
En stoppant le contrôle excessif.
En laissant une pleine liberté et responsabilité aux enfants, ceux-ci se gèrent d’eux-mêmes. Les règles sont expliquées et doivent simplement être respectées.
Cette approche permet à l’enfant de développer sa confiance en lui, en faisant ses propres expériences et en apprenant à se responsabiliser.
Il n’est plus soumis à un contrôle permanent qui mine la confiance.
Nous verrons à la fin de cet article comment te construire de nouveau la confiance en toi.
Donc les principales difficultés pour avoir confiance en toi se trouvent :
- Dans la prise de décisions. Tu as peur de faire le mauvais choix.
- Tu prends une décision et tu critiques tes choix par la suite.
- Être fidèle à toi-même devient encore plus difficile. Tu as pris des résolutions en début d’année mais tu n’arrives pas à les respecter.
- Quand on a besoin de l’approbation des autres et que tu as peur du jugement des autres, ici aussi prendre des décisions va être très difficile.
Pourquoi je n’arrive pas à me faire confiance ?
Comme je l’expliquais précédemment, le manque de confiance vient souvent de traumatismes vécus pendant l’enfance.
Si dans ta famille, tu as vécu en mode survie (donc dans un environnement non sécurisé), tu as dû élaborer un système de survie.
En grandissant et devenant adulte, ce même système est devenu un système de défense.
Concrètement, pour ne pas mourir, ton petit enfant intérieur a construit ce système de défense. On appelle cela de la survie.
Voyons quelques systèmes de défense ou de survie que tu aurais pu te créer :
- Je ne peux pas avoir confiance aux gens. Cet article pourrait t’intéresser. Clique-ici.
- Ou : Je ne peux pas croire en moi, je me trompe toujours.
- Encore : Je n’y arriverai jamais, ce n’est pas pour moi.
- Je suis incapable de changer cette situation.
Bien sûr, toutes ces croyances sont inconscientes la plupart du temps. Une thérapie peut t’aider à les mettre en lumière pour les accepter et mieux les élaborer (métaboliser).
Est-ce que tu te reconnais dans l’une de ces croyances limitantes ?
Ou en as-tu d’autres ? Laisse-moi un commentaire pour partager ton expérience.
J’ai hâte de connaître tes réflexions sur ce sujet qui me tient à cœur. En parlant de nos peurs intérieures, nous pouvons nous libérer et avancer.
Qu’est-ce qui peut détruire la confiance ?
La confiance en soi se construit dès l’enfance.
Un système éducatif adapté prendra en considération les 5 dimensions de l’enfant :
Sécurité affective
- Dimension physique = expériences sensorielles
- Dimension sociale
- Dimension cognitive
- Dimension langagière
Si l’une de ces dimensions est poussée à l’extrême ou en déséquilibre, cela créera un manque de confiance.
Voici une vidéo pour en savoir plus Clique-ici pour la visionner.
Tu imagines bien que nous avons tous besoin de construire notre propre confiance en nous.
Le développement harmonieux de ces différentes dimensions pendant l’enfance permet de renforcer cette confiance.
Est-ce que faire confiance aux autres peut être douloureux ?
Je réponds oui à cette question, car je vais t’exposer mon expérience personnelle.
Quand tu vis avec la croyance que les autres sont un danger (voir ici une série d’articles que j’ai écrits), il est très difficile de laisser aller cette croyance.
- Partie 1 : Se libérer de l’isolement. Clique-ici pour lire l’article.
- Partie 2 : Comprendre les mécanismes de l’isolement. Clique-ici pour lire l’article.
- Partie 3 : Se libérer de l’isolement et cultiver la connexion. Clique-ici pour lire l’article.
- Partie 4 : Comment surmonter les obstacles de l’isolement psychologique? Clique-ici pour lire l’article.
Le système de croyances qui m’a permis de survivre a été « je ne peux pas avoir confiance aux autres ».
A l’âge adulte, enlever cette croyance doit se faire de manière progressive et douce.
Quand j’étais petite, mon « ange gardien » ou mon système de survie m’a aidée à survivre à des situations émotionnelles et physiques insécurisantes.
A l’âge adulte, quand je commence à faire confiance, cela devient douloureux dans le corps. Je voudrais que tu notes bien ce passage. La douleur est dans le corps.
Pourquoi cette douleur ?
Parce qu’elle représente le lâcher-prise et donc la peur du danger qui est derrière. C’est la peur de mourir et c’est pour cela que c’est douloureux dans le corps.
Même si aujourd’hui ce n’est pas vrai, le système de défense est devenu une croyance ancrée.
Plus précisément, la douleur vient de la peur du danger et c’est là qu’il y a anticipation. J’anticipe qu’il y a un danger.
Qu’est-ce que le danger ici ?
C’est le danger de l’humiliation, de la trahison, d’être violentée.
La croyance c’est la protection, la méfiance est la protection.
C’est un programme qui s’inscrit comme ça.
Quelles sont les conséquences du manque de confiance en soi ?
Les conséquences sont assez évidentes.
Tu verras facilement des personnes timides avec un manque de confiance.
Mais aussi les personnes arrogantes ont un grand manque de confiance en elles-mêmes.
Elles ont besoin d’écraser les autres, d’être au centre de l’attention dans un groupe, d’être remarquées, de reconnaissance.
J’ai souvent vu cette attitude dans les groupes de développement personnel ou bien spirituels.
Il y a des personnes qui semblent très dévotes mais en réalité elles ont une faim et soif de reconnaissance des autres.
L’estime et la confiance ont besoin d’être nourries.
Une autre conséquence, c’est que la personne avec une basse confiance en elle sera incapable de s’affirmer face aux autres.
Elle peut avoir du mal à exprimer ses propres opinions, elle peut avoir du mal à dire non.
En effet, dire non impliquerait le danger de perdre l’autre.
Elle ne peut pas se permettre ce luxe parce qu’elle a besoin de sa reconnaissance.
C’est le chien qui se mord la queue.
Une personne qui manque de confiance en elle-même s’expose à passer à côté de sa vie, incapable de concrétiser ses aspirations
Comment fonctionne le cerveau ?
Je simplifie l’explication du cerveau.
Il se compose de 3 principales parties : le cerveau reptilien, le cerveau limbique et le cerveau cortex.
Le cerveau reptilien est notre premier cerveau de survie.
Autrefois, on attaquait, on fuyait ou on se paralysait.
Tu me diras qu’aujourd’hui c’est un peu la même chose.
- Quand j’agresse, j’attaque.
- Quand je fuis, je ne dis rien, je ne pose pas de limites mais je n’en pense pas moins (c’est ce que l’on appelle frustration).
- Je me paralyse par exemple dans les attaques de panique. Le corps se paralyse et ne bouge plus.
Le cerveau limbique est le cerveau émotionnel, celui de la mémoire.
Cette partie limbique fait tout pour nous éviter la douleur, recherche le plaisir. Très important à retenir car notre cerveau va aussi nous conditionner dans nos choix.
Le cerveau cortex, c’est la partie que les animaux n’ont pas.
C’est ce cerveau qui nous aide à élaborer les pensées.
Il est divisé en deux parties : la partie droite plutôt émotive, intuitive et créative, et la partie gauche plutôt logique, théorique et encline à la description.
Les clés pour retrouver la confiance en soi.
La première clé : la position de ton corps.
Si tu es courbé, ton corps envoie le message à ton cerveau qu’il est soumis.
Ton cerveau va donc produire une pensée de soumission, tu vas commencer à croire que tu ne vas pas y arriver.
Mais au contraire si tu te redresses, tu restes droit et détendu, alors ton corps envoie le message à ton cerveau que tout va bien, et donc il va commencer à t’envoyer des pensées d’encouragement, que tu vas y arriver et que tout va bien se passer pour toi.
Les recherches d’Amy Cuddy ont abordé la question de la confiance en soi sous l’angle de la psychologie corporelle, suggérant que notre langage corporel ne communique pas seulement avec les autres, mais aussi avec nous-mêmes.
Sa théorie, connue sous le nom de « power posing », postule que l’adoption de postures qui expriment la confiance peut en fait nous rendre plus confiants. Je te conseilles de regarder son TDx en 2012 en cliquant ici.
La deuxième clé :
La partie limbique de notre cerveau (expliquée ci-dessus) va tout faire pour nous éviter la douleur.
Elle va tout faire pour rechercher le plaisir.
Donc prendre une décision devient très difficile, si seulement nous apercevons de la douleur.
Construire la confiance en soi implique faire des actions dans notre zone de non-confort.
Pour autant, tu peux imaginer le problème ici.
Si tu perçois de la douleur, tu ne vas pas y aller parce que ton cerveau appréhende des situations de douleur.
Mais par contraste, c’est-à-dire si tu perçois que tu vas avoir des plaisirs tu vas y aller.
Donc, c’est une question de perception.
Sachant ceci, tu peux donc percevoir le plaisir que tu pourrais avoir dans la nouvelle situation et percevoir les difficultés que tu pourrais avoir en restant dans la même situation.
Ainsi, tu conditionnes ton cerveau et tu y vas. Le passage devient beaucoup plus facile.
La troisième clé :
Une clé qui marche très bien c’est de poser tes objectifs, puis de les diviser et diviser encore.
Tu vas ainsi les réduire pour arriver au premier pas que tu dois accomplir pour les réaliser.
Fais la même chose avec le temps.
Par exemple, tu vas dire cette année je veux réaliser cet objectif.
Ensuite, tu vas couper l’année en trois mois.
Dans ces 3 mois, tu vas réduire à 1 mois, puis en semaine et enfin en jour.
Et voilà, tu as construit ton premier pas. Tu vas construire ta confiance en toi jour après jour et pas après pas.
La quatrième clé :
La « règle des 5 secondes » de Mel Robbins, utilisent une stratégie de compte à rebours pour aider les gens à surmonter la procrastination et à agir.
La règle des 5 secondes suggère que lorsque vous avez l’impulsion de faire quelque chose qui vous mènera vers vos objectifs, vous devriez physiquement bouger ou commencer l’action dans les 5 secondes pour surmonter l’inertie et lancer l’activité désirée.
Conclusion.
La confiance en soi est un processus qui se construit jour après jour.
Comprendre les mécanismes de ton cerveau et adopter les bonnes stratégies peut t’aider à renforcer cette confiance petit à petit.
Change ta posture, transforme tes perceptions, fixe-toi des objectifs atteignables : ce sont des clés concrètes pour avancer.
Le chemin est long, mais chaque petit pas compte. La confiance revient en persévérant.
Es-tu prêt à faire le premier pas ?
A bientôt sur mon blog !
Merci d’avoir lu cette première partie d’article.
S’il t’a plu, laisse un commentaire et partage-le avec tes amis, tes proches.
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A bientôt.
Béatrice
Merci Béatrice pour cet éclairage. La confiance en soi est un vaste domaine. J’aime bien ton approche. Notamment la partie physiologique sur le cerveau. Comme quoi la confiance en soi n’est pas seulement une question de volonté et de sortir de sa zone de confort. Mais notre comportement est aussi influencé par toutes ces mémoires inscrites dans nos connexions neuronales.
Merci pour ton commentaire Philippe. Oui, c’est tout à fait ça, c’est aussi neuronal. Mais on peut changer cela, si on le choisit.